Coliques et troubles du sommeil chez les tout-petits, hyperactivité et difficultés de concentration chez les enfants, anxiété et stress chez les adolescents — en pédiatrie, chaque étape du développement peut présenter ses défis.
Coliques, pleurs, problèmes de succion après la naissance, troubles de l’attention (TDAH), difficultés d’apprentissage ou troubles du spectre autistique affectent le quotidien de nombreuses familles.
Les origines sont multiples : compression crânienne à la naissance, chutes et traumatismes durant l’enfance, stress émotionnel accumulé, dysfonctionnement du système nerveux. Le corps garde en mémoire ces empreintes, de la naissance à l’adolescence. La thérapie craniosacrale libère ces tensions, rééquilibre le système nerveux et favorise un développement harmonieux à tous les âges.
De la naissance à l’enfance : comprendre les impacts sur le développement
Chez le nouveau-né, la naissance crée les premières empreintes corporelles. Pendant l’accouchement, le crâne se déforme pour s’adapter au passage : les os crâniens se chevauchent, les membranes intracrâniennes subissent des tensions, la base du crâne peut être comprimée. Les accouchements avec instruments (ventouse, forceps) ou les naissances rapides/longues accentuent ces compressions. Le nerf vague, qui passe à la base du crâne, peut être irrité, provoquant coliques, reflux, troubles du sommeil ou difficultés de succion.
Chez l’enfant plus grand, d’autres facteurs s’ajoutent. Les chutes, chocs ou traumatismes (même mineurs) créent des restrictions fasciales qui persistent. Le stress scolaire, familial ou émotionnel maintient le système nerveux en hypervigilance. Les troubles neurodéveloppementaux (TDAH, troubles du spectre autistique, troubles sensoriels) sont souvent associés à un dysfonctionnement du système nerveux autonome et à des tensions craniosacrales. Les troubles de l’apprentissage (dyslexie, dyspraxie) peuvent être liés à des déséquilibres dans la mobilité crânienne qui affectent le fonctionnement cérébral optimal.
Comment la thérapie craniosacrale intervient : Des touchers extrêmement doux au niveau du crâne, de la base occipitale, du sacrum et du diaphragme libèrent ces restrictions. La thérapie rétablit la mobilité des structures crâniennes, décompresse les nerfs importants, relâche les tensions fasciales et rééquilibre le système nerveux autonome. Chez les enfants avec TDAH ou TSA, elle favorise la régulation émotionnelle, améliore l’attention et réduit l’hyperactivité.
Le résultat : apaisement, meilleur sommeil, amélioration de la concentration, réduction de l’anxiété et meilleur développement global.
Vous souhaitez en savoir plus ?
Découvrez comment notre approche peut vous accompagner vers un mieux-être durable.